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| Imaginez paris roubaix stoppé pour cause d'intemperie !!!!!!!!! |
13/03/2025
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Apres paris nice,nous aurons peut etre la surprise de voir paris-roubaix stoppé s'il vient à pleuvoir,tombe de la grele ou des flocons de neige.......!A force des mauvaises habitudes prisent dans les courses au soleil,australie,arabie seoudite,quatar etc...le retour en europe et son climat alleatoire....c'est encore l'hiver transforme les mentalités des forcats de la route?
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13/03/2025
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Ça n'est pas si simple Yves, on ne parle pas de seulement de pluie et de froid et de qq petits grêlons, on parle de suffisamment de grêle pour mettre ds le fossé un motard de la gendarmerie (et ce sont les meilleurs pilotes sur ces épreuves) et une voiture, dans une descente, le genre tapis roulant comme du verglas.
On parle de sécurité totalement compromise, et pas de "confort".
Oliver Naesen, 1 des 2 délégués des coureurs, tout à fait d'accord avec l'interruption de la course.
On ne peut pas non plus laisser les coureurs aller dans un casse-pipe garanti, surtout dans une période où l'on parle de trouver des solutions pr limiter les chutes en course (limiter les braquets pr limiter la vitesse, supprimer les oreillettes / compteurs trop évolués pour éviter la déconcentration, etc).
Au final, pas de quoi en faire une montagne, 45 min d'arrêt, et visiblement seuls les commentateurs de forum et téléspectateurs se plaignent, aucun coureur n'a trouvé ça anormal.
Ceux-la même qui criaient au scandale après la grosse chute lors du Tour du Pays Basque l'an passé, demandant pourquoi l’organisation n'avait pas "sécurisé, passé au peigne fin, balayé, refait à neuf le bitume pr faire un billard sur tout le tracé", etc. Bref, du n'importe quoi.
Finalement c'est un peu comme le "droit de retrait" dans le monde du travail.
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13/03/2025
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Personne ne dit que c'est simple,mais manifestement les retraités jalabert et voekler n'etaient pas partisant de cet arret...(on peut aussi considerer que le coureur doit adapter sa vitesse en fonction des risques)!Tu evoques le motard et la voiture,je te rappelle que sur Paris roubaix c'est frequement qu'il y a des chutes de motard et voitures sur le bas coté,ceux sont les memes qu'a paris nice...!Concernant les coureurs les avis sont partagés,meme vingegard souhaitait un arret total...!Je crois que ce phenomene d'ouvrir le parapluie pour les organisateurs va se generaliser et se banaliser au detriment des baroudeurs...Je pense que Hinault ne doit pas aimer cette evolution!!!!!
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13/03/2025
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Quand je dis que les coureurs étaient d'accord, c'est pour interrompre l'étape, certains même pour l'interrompre définitivement, d'autres pr repartir.
Faut arrêter de systématiquement parler à la place de Hinault, comme tous le font.
Citant éternellement un LBL que 21 coureurs finissent, ça reste une exception.
Pis comparer un monument à une étape de Paris-Nice, ça n'est pas pareil.
L'an passé on a vu La Flèche Wallonne dans des conditions épouvantables qui ont fait de gros dégâts dans le peloton, mais pas dangereuses.
Des courses et étapes interrompues ou amputées il y en a eu des tas, même il y a 30 ans, et certaines de manière totalement injustifiée, comme sur le Giro...
Si on veut le retour des baroudeurs il faut commencer par virer les oreillettes (et tous les capteurs et écrans pdt qu'on y est).
Le grand nombre de points UCI distribués à chaque arrivée sont aussi un problème
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14/03/2025
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Le fondement c'est la securité des coureurs,mais en quoi le fait qu'une course soit considéreé comme un monument "paris roubaix" devrait tolerer ce qui ne devient plus acceptable sur les autres epreuves,le paradoxe etant que le public espere voir "des gamelles"de la sueur,de la boue,des drames,alors que les coureurs veulent preserver leur santé et enfin deviennent conscient des risques inutiles qu'on leur fait prendre parfois!
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14/03/2025
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Je me place du côté coureur, quand tu cours un monument (ou un CDM) tu es prêt à aller "bcp plus loin" que pour une étape de course.
Ce qu'a fait Hinault sur LBL en 80 il ne l'aurait très certainement pas fait pour gagner une étape de Paris-Nice.
Comme un contrôle de math, en cours d'année l'importance est toute relative, pour le BAC l'importance est majeure et mérite tous les sacrifices pour réussir, et tu t'y investis au maximum (je parle du BAC de notre époque).
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21/03/2025
E.S .PERSANAISE
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Bonjour, interrompre la course, continuer ou différer le départ, la décision ne doit pas être facile à prendre. Maintenant il faut pas sombrer dans la facilité, surtout quand le risque était prévisible, essayez d'avoir sur certaines étapes un itinéraire B. Sûrement plus facile à dire, mais c'est déjà arrivé dans le passé. Sur l'état du tour du Ventoux, les premiers nous somment montés sous le soleil, et le temps s'est dégradé très rapidement. Les organisateurs ont détourné et interdit l'ascension à un nombre important de participants, mais classant tout le monde. Dans les années 80 au mois de mars, départ prévu à huit heures, mais un brouillard épais et déposant sur une grande partie du circuit, des plaques de verglas. L'organisateur proposa à ceux qui voulaient prendre le départ, de retarder celui-ci de 2h30. Beaucoup de coureurs étaient satisfaits de cette décision. Avec une moyenne de 25 courses par an et 50 licences, je pourrais vous citer d'autres cas, heureusement rare. Maintenant c'est vrai, avec les oreillettes les compteurs GPS, les coureurs sont sûrement moins vigilants qu'avant, ça explique peut être les prises de risque d'une partie du peloton surtout dans les descentes. Cela joue aussi sur leur façon de courir, moins d'instinct. Sur la plupart des courses, on laisse partir ou on veut prendre l'échappée, et après le même scénario, cours moi après si tu peux et en prime le meilleur animateurs du jour. Et cette façon quand ça se justifie pas, de former des trains, une chute et voilà trois à quatre coureurs de la même équipe éliminée. Bon je vais prendre mes gouttes, je sens que ma tension monte. Sportivement
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